Le Dakar intensifie chaque année ses actions responsables sur le bivouac, travaillant notamment sur les énergies décarbonées, le ramassage systématique et le tri des déchets. Il compense également les émissions de CO² liées à son organisation depuis 2009, étendues depuis 2022 à celles de l’ensemble de ses parties prenantes.
En Afrique, le Dakar a permis à des projets humanitaires de voir le jour : construction d’infrastructures pérennes pour rendre des terres cultivables, construction du poste de santé-maternité Thierry Sabine à Niaga, etc.
En Amérique du Sud, le Dakar a soutenu le projet REDD Madre de Dios, travaillant pour le bien-être social, santé et éducation des enfants des écoles d’Inapari (Pérou) ; et l’association sud-américaine TECHO, via plus de 400 projets sociaux.
Aujourd’hui, l’engagement du Dakar auprès d’associations locales se poursuit en Arabie Saoudite : Help Center et Eta’am.
Depuis 2021, le Dakar soutient le Help Center, qui agit en faveur de l’inclusion et apporte son aide à de jeunes Saoudiens en situation de handicap physique et mental. Il participe en particulier au financement de matériel sportif pour les jeunes de l’équipe « Desert Gazelles », afin qu’ils puissent s’entrainer et concourir dans les meilleures conditions.
Retrouvez ici, tous les programmes portés par le Help Center.
Le Dakar travaille depuis 4 ans à la réduction du gaspillage alimentaire. Une redistribution des denrées alimentaires non consommées sur le bivouac est organisée au profit d’une association locale, Eta’am, soutenue par la Saudi Food Bank.
Le Dakar redistribue les surplus de dotations vestimentaires de l’organisation. Ils ont été offerts aux adolescents du Help Center ou remises aux bénévoles de l’association Eta’am. Cette année, cette redistribution locale a été complétée par le don de parkas, polaires et de tentes à destination de l’association française Entourage qui œuvre en faveur de personnes exclues, le plus souvent sans-abri.
Energies décarbonées. Des dispositifs de mobilité douce sont mis en place sur le bivouac (flotte de trottinettes électriques, etc.), ainsi que le recours au biocarburant pour certains groupes électrogènes de l’organisation, ou des générateurs à énergie solaire pour alimenter une partie de l’éclairage. Objectif à moyen terme : l’indépendance totale du bivouac aux énergies carbonées.
Collecte, tri et recyclage. La gestion des déchets passe depuis plusieurs années par l’installation de poubelles de tri adaptées (aluminium, plastique, carton et papier). Sur l’édition 2023, l’utilisation du plastique a été réduite de 82 % sur la restauration (159 250 couverts et contenants en bois commandés). Pour les déchets spéciaux (huiles usagées, etc.), un « green point » a été créé pour la collecte afin de préserver les sols et de rendre possible l’acheminement vers des filières de traitement spécialisées. Partenaire du Dakar, BF Goodrich veille à la récupération et au recyclage des pneus et a également lancé la campagne « Clean Desert » organisée sur le site d’arrivée de la dernière spéciale du rallye, en lien avec une université locale.
Par ailleurs, un nettoyage intégral du lieu de bivouac est systématiquement effectué après le passage de la caravane.
Parallèlement à la réduction de son empreinte environnementale, le Dakar compense 100 % des émissions de CO² liées à son organisation depuis 2009. Cette compensation a été étendue à l’ensemble des parties prenantes de l’événement (périmètres 1 et 2), dans des programmes internationaux certifiés par le standard de référence VERRA.
